mardi 19 novembre 2024

Le célèbre avocat Antoine Vey, ancien bras droit de Dupont-Moretti accusé de harcèlement moral et sexuel par ses collaborateurs

Le célèbre avocat Antoine Vey, ancien bras droit de Dupont-Moretti, accusé de harcèlement moral et sexuel par ses collaborateurs. À mon humble avis il ne doit pas être le seul avocat à avoir ce genre de comportement… Il faut lire l’article ci-dessous , c’est une vraie pépite. https://www.justiciablesencolere.com/2024/11/19/le-c%C3%A9l%C3%A8bre-avocat-antoine-vey-accus%C3%A9-de-harc%C3%A8lement-moral-et-sexuel-par-ses-collaborateurs/

lundi 24 octobre 2022

Pétition : Les notaires malhonnêtes, des intouchables ?

« Je me tournais donc vers un avocat qui me fit une réponse claire : "je peux prendre votre dossier, entamer une procédure et vous faire payer mes honoraires,  mais par mon expérience : "Aucune procédures contre des notaires n'aboutit jamais : ce sont des intouchables." Cette phrase est extraite d'une pétition intitulée «  Les notaires malhonnêtes des intouchables ? » Cette pétition remonte à quelques années mais j'en mets le lien ci-dessous car elle est très bien rédigée. C'est vraiment dommage qu'il n'y ait pas plus de témoignages de ce niveau et de cette qualité sur Internet. Les réseaux sociaux pourraient être un outil fabuleux si les gens, comme l'auteur de cette pétition par exemple, s'en servaient de façon intelligente et n'avaient pas comme seul objectif la résolution de leur petit problème perso... Pétition : Les notaires malhonnêtes intouchables ? (mesopinions.com)

mercredi 28 septembre 2022

Fabrice di Vizio, l'avocat star des antipass, porsuivi pour manquements aux principes de sa profession

L'avocat star des antipass, Me Fabrice di Vizio, poursuivi pour avoir manqué aux principes essentiels de la profession d'avocat. »


Me Di Vizio est poursuivi pour avoir manqué «aux principes essentiels de la profession d'avocat» et notamment pour avoir tenu sur son compte Twitter et dans l'émission Touche pas à mon poste (TPMP) sur C8 des propos «grossiers»«vulgaires» et «offensants», a rappelé la formation de jugement.



Il lui est également reproché d'avoir écrit sur Twitter qu'il voulait mettre un terme au contrat d'une de ses collaboratrices au cabinet car elle avait accepté de se faire vacciner, et d'avoir incité son auditoire à multiplier les recours contre le passe sanitaire et la vaccination, «sans sensibiliser le public sur les aléas et le temps judiciaire».

Lors de l'audience, à laquelle ont assisté plus de 200 de ses soutiens, Me Di Vizio, lunettes rondes et crâne dégarni, a reconnu la plupart des propos tenus sur Twitter et invoqué sa «liberté d'expression renforcée» dans le cadre d'un «débat d'intérêt public». «Si je veux être Donald Trump ou Bolsonaro, je suis Donald Trump ou Bolsonaro», a lancé l'avocat, soulignant que ses injures étaient «majoritairement destinées au président de la République et au gouvernement». L'avocat s'est notamment illustré par des plaintes qui ont contribué à l'ouverture d'une information judiciaire à la Cour de justice de la République en juillet 2020 visant notamment Édouard Philippe, Olivier Véran et Agnès Buzyn pour leur gestion de la crise sanitaire.

Il est aussi à l'origine d'autres recours massifs, qui ont toutefois tous été classés sans suite par la CJR, et a défendu le controversé professeur Didier Raoult. «La robe que nous portons (...) se porte aussi parce qu'elle se mérite et symbolise une fonction (...) qui nous oblige», a déclaré Me Edmond-Claude Fréty, qui représentait l'autorité de poursuite et a également requis contre l'avocat une interdiction de se présenter aux élections professionnelles pendant 10 ans. «Est-ce que vous avez envie d'être la police du tweet, d'être la police de TPMP?», a demandé une des conseils de Me Di Vizio, Me Julia Courvoisier. «Quand on met le doigt dans cet engrenage des accusations sur Twitter, on prend des risques», a renchéri son confrère, Me Ouadie Elhamamouchi, appelant à faire preuve de prudence sous peine de voir des personnes exhumer des tweets et d'engager des poursuites à l'encontre d'avocats. Le Figaro 27 septembre 2022